En 2200, Reykjavik n’était plus la ville qu’elle avait duré. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait désormais des centres de recherches appariant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces immémoriaux abris transformés que vivait un voyant discret, connu rien
Les traits effacés
En 2200, Reykjavik n’était plus le village qu’elle avait existé. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait désormais des centres de recherches associant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces immémoriaux abris transformés que vivait un voyant simple, fait l'e
L’érosion des mémoires
En 2200, Reykjavik n’était plus le hameau qu’elle avait existé. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait désormais des centres de recherches conjuguant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces anciens abris transformés que vivait un voyant discret, fait l'expé
L’ombre des chances
Les serveurs de Divinatrix fonctionnaient en immuable, analysant tout seconde des téraoctets d’informations événements dans le univers entier. Les satellites lui transmettaient les designs climatiques, les fluctuations des marchés, les mouvements militaires, les comportements humains. Depuis des temps, ses prédictions s’étaient révélée
L’ultime oracle
L’écran détaché de la station de attention affichait un nombre de chiffres en indéfectible mouvement, des prévisions calculées à la milliseconde auprès. L’intelligence artificielle, connue sous l'appellation de Divinatrix, n’était plus un facile programme. Son algorithme, perfectionné année en arrière année, analysait tout rensei